Bleach Rebellion
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 Encounter ! Confrontation ? New Friendship ?

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Muguruma Kensei
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Muguruma Kensei


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MessageSujet: Encounter ! Confrontation ? New Friendship ?   Encounter ! Confrontation ? New Friendship ? Icon_minitimeDim 18 Juil - 21:36

Karakura ! Une belle ville où se trouvent un groupe de gens ayant une forte pression spirituel, je veux bien sûr parler des Vizards et j’en fais partit. Je me trouvais en ce moment non loin de notre quartier général, cela faisait bientôt plusieurs jours que je ne n’avais pas vu la tête d’un Hollow. Mais que font-ils en ce moment, c’est bien trop stérile, il me faut de l’action et vite, mon sang bouillonne d’impatience pour voir créatures, mais je ne suis pas le seul. Tachikaze s’ennuie lui aussi, il veut sortir de son repos et montrer de quoi il est capable, mais en ce moment ce n’est pas trop l’agitation. Sans doute si je rentre à la planque, je risque de trouver de quoi m’occuper et s’il le faut je demanderai à Shinji de bien vouloir s’entrainer avec moi pour passer le temps. Le vent soufflait en ce jour d’été, les nuages étaient peu présent dans ce ciel bleu, le soleil tapait fort rendant certaines zones de la ville invivable s’il n’y a pas d’ombre. Les maisons ont toutes leurs volets fermés sans doute pour préserver un peu de fraicheur, tant mieux après tout, je fais pouvoir courir dans le ciel sans que personne ne puise me voir. Mais je ne pus le faire, pourquoi ? Tout simplement il y avait en face de moi en jeune garçon qui titubait, il n’était pas sous l’effet de l’alcool mais plutôt sous l’effet d’une insolation qui l’empêche de posséder tous ses moyens.

Je ne pouvais rester sans rien faire avec cette chaleur c’est déjà un miracle qu’il tienne le coup, je me dirigeais vers lui pour pouvoir lui demander où il vivait. Mais au moment où je lui posais cette question il prit peur et commença à hurler de peur. Tout étonné, je lui demandais de rester calme et là il se mit à pleurer de plus belle. "Arrêtes ! Tu es un homme et les hommes ne pleurent pas, alors sèche tes larmes et dis moi où tu habites pour que je puisse te ramener chez toi." Rien à faire il pleurait toujours, il faut le dire je ne sais pas m’y prendre avec les enfants peut-être que c’est ma façon de parler ou bien mon visage qui n’inspire pas confiance. Je suis en pleine veine en ce moment, je devrais partir car je ne peux rien faire, mais il est jeune est à son âge et sous cette chaleur il faut mieux ne pas rester seul. C’est mon côté ancien capitaine qui ressort, avant j’étais très complice avec tous mes subordonnées, maintenant ce n’est plus le cas, je suis devenu complice avec les autres Vizards. Deux minutes venaient de s’écouler et déjà les pleurs et les hurlements se dissipèrent, enfin ! Me direz-vous, je n’en pouvais plus, il me regarda avec deux gros yeux et me dis :

"Messieurs vous voulez bien me ramener auprès de ma maman ?" Je le regardais moi aussi, comment pouvais-je refuser une telle demande, je ne suis pas un monstre sans cœur, c’est ce qui me différencie des Hollows, j’ai leurs pouvoirs mais j’ai encore mon cœur. Je lui pris la main et lui demandait où il fallait que nous nous dirigions pour rentrer cher ce jeune garçon, mon visage pouvait montrer un petit agacement car il mettait beaucoup de temps avant de se décider. Après une demi-heure de marche nous arrivions enfin devant sa maison, il se trouvait sur mes épaules car il n’arrivait plus à marcher et il était quasiment K.O. Je sonnais, j’attendais que quelqu’un ouvre la porte, une dame apparut totalement apeuré, je ne sais où elle sortit un parapluie avec un temps pareil mais elle en avait un dans la main. Je posais le garnement par terre et d’un coup la femme commença à me frapper avec l’embrelle noire, pourquoi ? Elle me criait « Monstre, Kidnappeur ! », je lui ramène son gosse et voilà que je me fais insulter. Je n’avais plus de raison d’être ici, je pouvais partir, je ne dis rien à la femme et je ne me défendais point, cela n’en valait pas la peine.

Maintenant, je pouvais utiliser mes pouvoirs de Shinigami qui consiste à marcher dans le ciel mais aussi de parcourir une grande distance en très peu de temps grâce à mon Shûnpô. En espace de quatre minutes, j’arrivai enfin devant l’immense quai où se trouve notre planque, le Box où se trouvent les Vizards n’attendait plus que moi. Aucun humain ne peut le voir grâce à la barrière que nous installer Hachi, la porte s’ouvrit laisser s’échapper une faible lumière, personne aucun de mes confrères n’étaient présent. Peut-être que l’un d’eux se trouve dans la zone d’entrainement qui en faite un zone mis aride et rocheuse. Lorsque je descendis les escaliers je pus voir au loin la silhouette d’un jeune homme. Mon regard changea totalement lorsque je reconnu son aura, il y a environ plus de cent-dix ans un Shinigami du nom de Recca s’engageait dans mon ancienne division. Si quelqu’un m’avait dit qu’un jour je le ferrais ici devant moi dans la planque des Vizards, je lui aurai rit au nez et en prime je lui aurai sans doute mis une petite droite pour lui montrer que ce n’est pas bien de se moquer de moi comme ceci. Mais ce qui me perturbait le plus c’est la raison de sa visite, est-il envoyé par la Soul Society ? Je pense que Shinji doit être au courant de sa venu mais il aurait été bien de nous en informer qu’un rebus de Shinigami se trouve ici ! Il faut aussi le dire cela fait plusieurs jours que je ne suis pas revenu ici, pour connaître la raison de sa visite, il fallait que je lui demande, toujours avec un air sérieux, je m’avançais vers lui, ma démarche ne laissait présager rien de bon. "Salut, je peux savoir ce que tu fais là Recca ?" J’attendais sa réponse, mais une chose était sûr il allait me faire passer le temps.

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Hanabishi Recca
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MessageSujet: Re: Encounter ! Confrontation ? New Friendship ?   Encounter ! Confrontation ? New Friendship ? Icon_minitimeSam 24 Juil - 9:03

Le lent rythme de ses foulées était étouffé par la grâce de sa preste démarche et la rigidité d'un bitume trop arpenté dont l'usure transparaissait par maintes éraflures zébrant la camaïeuse grisaille de leur surface de blancs tracés. Nul doute que sa tenue aurait juré avec l'époque si tant est que sa placide silhouette avait été visible des corps en mouvement défilant à ses côtés, son enveloppe spectrale étant incessamment traversée par l'hative course des badauds les plus empressés. N'être qu'un fantôme déambulant dans le moderne théâtre d'une cité en ébullition aux incalculables acteurs suivant les grandes lignes d'un scénario apostrophé par le modeste apocope qu'était le mot destin... Un ange gardien silencieux, protecteur vigilant étendant l'indestructible toile de sa surveillance sur l'amer béton de la bourgade côtière. Ainsi était faite la monotonie du quotidien dans lequel il avait sombré tel sa joie périssant dans les immaculés éclats d'une chimère massacrée il y a de cela tant d'années. Condamné à n'être qu'un pantin dont les fluides vitaux avaient été purgés par l'absurde châtiment d'un malheur inopinément survenu pour être remplacés par un pesant givre le chargeant plus encore que la chape de plomb du regret ceignant ses épaules de sa masse accablante. Qu'avait-il fait pou mériter tant de mauvaise augure et pareille déchéance ? Nul n'aurait su le dire, pas même lui, demeurant dans la sinistre geôle des cachots de l'ignorance où on l'avait écroué de même que ses émanations sentimentales à dater de cette excursion dans le blanc désert. Tout avait été perdu à l'ombre de ces dunes et alors qu'ils gravaient dans le sable des traces de pas que balaierait un vent de miséricorde, de même qu'il emporterait vies et âmes dans son torrent purgateur.

Il n'y avait là-bas pas de place pour qui ne s'est pas laissé corrompre par le transcendant flux corbeau des ténèbres. Celles qui avaient élu domicile au fond de ses entrailles depuis ces événements ne demandaient qu'à ce que soit levée plus avant le barrage séparant d'ordinaire blanc et noir, bien et mal. Cette frontière dans son cas oblitérée qui avait depuis longtemps laissé filtré les corruptrices volutes du vice, celles issues de l'essence même de ses ennemis jurés... Ceux pour qui la haine le déchirait chaque jour un peu plus depuis qu'ils avaient conduit à la mort l'unique femme ayant su se ciseler une place dans les abysses de son cœur désormais irréparablement meurtri. Le choix de sa destination était régie par la pression d'une invitation silencieuse, celle de l'écho que faisait à son aura celle qui émanait de ce lieu où il semblait être attendu. Ce n'était qu'un nid, un cocon façonné dont la senteur ne pouvait être qu'égale à la sienne et où se concentrait d'incalculables similitudes avec cette opposition atypique qui scindait son être. La résonance le transperçait telle une lance immatérielle transcendant son corps et son esprit dans une imprévisible symbiose, ne lui inspirant qu'une douce et conviviale chaleur qu'il ne pensait plus pouvoir ressentir. Celle d'une famille, identiquement à celle qu'il avait perdue par le passé de même que tant d'autres choses. Ses pas s'orientaient perpétuellement vers l'avant, en quête de ce point de rendez-vous qui semblait l'appeler au creux même de son âme déchue. Reculer signifiait disparaitre.

D'un pas supersonique, il fendit les airs, se déplaçant à toute allure à travers les cieux et les distances. Il n'y avait plus pour lui de limites, il s'affranchissait de son horizon et se déplaçait avec plus de fluidité qu'une eau de source s'abattant en cascade sur les rochers n'attendant que d'en fracasser le cours. Le vent lui-même était son porteur et faisait voltiger sa longiligne stéréotomie à travers au-dessus de cette marée grisâtre qu'était le bitume de cette cité sans sommeil. Plus léger qu'une plume, plus silencieux que le cosmos, le Paradoxe fusait tel un éclair foudroyant la terre et le ciel à travers une atmosphère où il n'avait que faire et ne pouvait s'attarder, défiant la gravité de cette brusque accélération faisant de lui une étoile filante crevant la clarté du jour et la brûlure du soleil pour n'être qu'un flou souvenir disparu dans sa folle course vers une destination méconnue mais dotée d'un étouffant magnétisme. Il ne lui fallut qu'une poignée de secondes pour que son mouvement évanescent ne prenne fin sur le pavillon de l'édifice où l'avait conduit cette irrépressible attraction. La modestie d'un hangar, banale antre industrielle issue de la main de l'homme, lui tendait les bras.

Il ne savait pas sur quoi il empiétait ni même sur quel territoire il venait de pénétrer. Sa marche ne tarda pas à le conduire aux confins de cet entrepôt trop bien entretenu que pour être désaffecté comme le prétendait le délaissement de la zone. Une barrière avait été érigée au-devant de l'entrée mais il n'eut pourtant aucun mal à la traverser de sa marche souple et féline, le passage s'ouvrant comme si même ce rempart s'inclinait devant l'auguste majesté de son avancée. À croire qu'il était attendu, et que cet appel qui palpitait à travers lui n'était là que pour le convier à un nébuleux conciliabule. Ce qui l'attendait derrière les cloisons de ce bâtiment n'était que mystère, mais cela ne l'empêcha pas de parcourir la superficie de cette précaire demeure pour comprendre les raisons de cette étonnante sensation. Avant même d'avoir croisé la route d'une présence, aussi subtile soit-elle, il dériva dans une lente et calme exploration de ce lieu faussement supposé à l'abandon. L'une des cloisons bénéficia d'un frôlement du bout de sa dextre, qui ne recueillit nulle poussière, témoignant d'une hygiène excessivement élevée pour un édifice n'ayant plus été foulé depuis des lustres. Tendant ses perceptions à l'extrême, il ne lui fallut qu'un zeste d'attente pour qu'enfin la familiarité des fragrances remonte la piste de ses souvenirs.

Et avant qu'il n'ait pu suivre le fil d'Ariane de sa mémoire jusqu'au bout surgit la silhouette de son mentor des temps passé. La grisaille blanchâtre de sa toison, le culturisme débordant de sa silhouette et l'onde propagée par son charisme ne sauraient tromper. La douce brise de la nostalgie vint cingler les traits juvéniles du déserteur tandis que le fin linceul du respect et de l'estime venait draper de son éclat indicible le vif-argent de ses prunelles alors qu'il détaillait dans un pesant silence l'aspect de son instructeur de jadis. En réponse à ses questions surgit de la poche du pantalon bouffant de l'entre-deux une main retenant les ailes aux battements moribonds d'un papillon infernal, trop longtemps retenu captif et n'attendant que sa dernière heure dans une ultime faiblesse. D'une lente et mesurée pression sur le corps meurtri de l'animal continuellement enfermé qu'il conservait précieusement depuis nombre d'années, Recca rappela à son fonctionnement le mécanisme intérieur régissant la vie artificielle du messager, qui se mit en route sans plus de fioritures et émit un douloureux grésillement avant de débiter sa missive d'un timbre métallique sur le déclin.

Le Roku Ban Tai Fukutaishô Hanabishi Recca est à compter de ce jour considéré comme déserteur. Nous pensons avoir pris connaissance d'un cas de Hollowmorphose de sa part. Le cas échéant, s'il est toujours en vie, il sera rendu coupable de désertion. Dans n'importe lequel de ces deux cas, quiconque viendrait à le localiser est a pour ordre de lui donner la mort sur le champ.

La voix s'éteignit dans un dernier battement d'ailes avant que ne disparaisse de la vision de son ainé pour ne plus reparaitre, prenant un repos mérité après avoir délivré une fois de plus cette alerte dépassée par les âges. Alors que s'élevait chaque phrase dans un enchainement qu'il avait appris à connaitre par cœur, l'intéressé avait obstrué son regard en fermant les yeux, d'un calme olympien. Ses paupières closes étaient une toile de cinéma où défilaient jaunies les scènes d'un passé étouffé dans les glaces d'un malheur enlaçant son cœur de son écrin mortifère. Une pénible nostalgie qui rappelait des abysses de son esprits les images, entre joie et tristesse, se bousculant tels les flots d'un océan déchainé ne connaissant pas de limite à sa fougue alors que tempêtaient vents et marées dans un concert naturel des plus rugissants. Ne laissant nullement paraitre ce trouble éphémère, il fit volte-face, le port altier devant l'un de ses principaux modèles de l'époque. Quelques mèches opalines vinrent caresser le hale de son visage alors qu'il finissait d'examiner l'évolution physiologique de son formateur et ami d'antan pour ne laisser paraitre que l'immensité de la considération qu'il portait à son égard par le biais d'une sereine inclinaison du chef. Si leur divergence hiérarchique n'était plus d'actualité, leurs rapports n'en étaient pas changés pour autant, du moins de son point de vue ; aussi devait-il se conduire avec le meilleur des maintiens.

Longtemps qu'on ne s'est vus, capitaine Muguruma. M'est avis que ce souvenir que j'ai gardé de l'époque de mon affranchissement a su vous éclairer sur les motifs de ma présence. Me trompe-je ?

Avec une lenteur cérémonieuse, sa main se leva, nullement en signe d'offense mais bien pour gagner une hauteur semblable à celle où était situé son minois d'éphèbe. Sa seule attente était celle de toute réponse pouvant émaner de son vis-à-vis, de savoir s'il devrait donner le jour à cette immaculée matière une fois de plus et enfiler cette parure faciale afin de donner de la consistance à l'histoire contée par l'insecte méticuleusement conservé. Toute demande glanée rimerait avec l'apparition de cette monstrueuse face qu'était celle de ce masque obtenu au prix du plus lourd des sacrifices... Celui qui les avait mis sur un pied d'égalité.
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Muguruma Kensei
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MessageSujet: Re: Encounter ! Confrontation ? New Friendship ?   Encounter ! Confrontation ? New Friendship ? Icon_minitimeSam 31 Juil - 14:28

en cours. Dsl du temps de réponse^^'
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MessageSujet: Re: Encounter ! Confrontation ? New Friendship ?   Encounter ! Confrontation ? New Friendship ? Icon_minitime

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